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 Who The Hell You Are ?

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Rhaka Khan
2nd Kyu

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MessageSujet: Who The Hell You Are ?   Who The Hell You Are ? Icon_minitime1Lun 16 Déc - 0:59


  • Nous sommes dans la salle de la fédération réservée aux interviews. Un éclairage presque aveuglant met en valeur deux fauteuils style cabriolé dans lesquels sont assis un homme et une femme. L'homme, habillé d'un costume très chic semble avoir la petite trentaine. Il se révèle être de type caucasien, les cheveux courts brun impeccablement coiffés. Il tient posé sur ses genoux plusieurs fiches bristols blanches, pas de doute il s'agit bien là d'un journaliste. Mais il ne semble toutefois pas être un visage familier de la fédération, et pour cause, il s'agit là de Julian Morris, un jeune journaliste fraîchement diplômé en quête de sensation pour ses articles. La femme qui lui fait face n'est autre que Trenesha Biggers, mieux connus dans le milieu de la lutte sous le pseudonyme de Rhaka Khan. Elle est également assise, les jambes croisées, vêtue d'un corset à dentelles noires et blanches et d'un jean neige effilé au niveau des cuisses. A sa gauche sur un petit guéridon se trouve un verre à cocktail contenant ce qui semble être un Martini ainsi qu'une olive piqué sur un petit bâtonnet. Elle tient dans sa main gauche une cigarette qui vient tout juste d'être allumée. A l'aide de sa main droite elle en profite pour réajuster sa coiffure tandis que les techniciens font les derniers raccords. Une fois prêt l'un d'entre eux fait signe au journaliste qu'il peu commencer, la caméra se braque dès lors vers lui :


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Julian Morris : Mesdames et Messieurs bonsoir, ici Julian Morris en direct des locaux de l'Action Wrestling Company. Je me trouve actuellement avec la nouvelle recrue de la fédération : Rhaka Khan. Mademoiselle Khan, tout d'abord merci de m'avoir accordé un peu de votre temps pour cette interview. Votre notoriété vous précède, on ne vous présente donc plus, tout le monde vous surnomme "The Freak". Qu'est ce qui a justement bien put poussé une femme comme vous à rejoindre les rangs de la AWC ?


  • La caméra se concentre alors sur Rhaka Khan, cette dernière incline légèrement la tête sur le côté tout en jetant son regard de panthère droit dans les yeux du journaliste. Elle inhale une bouffée de sa cigarette puis recrache la fumée quelque seconde plus tard. Après un long silence elle finit par sourire laissant ainsi apparaître ses dents couleur ivoire et répondit au journaliste de sa voix grave de contre alto :



Who The Hell You Are ? Rhakak10

Rhaka Khan : "Vous savez Julian, si j'étais une femme envieuse, intéressée, peu scrupuleuse et aux dents rayant le parquet, je vous répondrez sans hésitation pour la gloire et l'argent. C'est d'ailleurs ce qui motive toute les filles dans ce milieu. Allons soyons sérieux un moment, arrêtons de ce voiler la face derrière de faux motifs tels que la passion du métier ou l'amour que l'on porte pour les fans. Je ne connais pas une seule personne dans ce bas monde qui apprécie le fait de se prendre chaque semaine des coups, de faire souffrir son corps et de mettre sa santé en péril lors de chaque prestation. Ce qui motive et anime tout catcheurs quel qu’il soit c'est l'or et la célébrité. Toutefois il s'avère que je ne suis pas comme tous ses gens. Non vraiment, les titres, le fait d'être reconnue dans la rue, les premiers rôle dans des blockbusters : tout ceci m’indiffère au plus haut point. Les années passantes, j'ai ressentis un profond ennui dont la source était le manque cruel de compétition. Dans les fédérations où je luttais par le passé je n'étais guère à plus de cinquante pour cents de mes capacités. Et rien n'y faisais, peu importe qu'elles soient deux, trois ou bien encore quatre en face moi, je retombais au bout du compte toujours sur mes pattes tel un chat et parvenais tout le temps à décrocher la victoire d'une main de maître. Etant lasse de tout ceci, j'ai donc signée un contrat ici à l'Action Wrestling Company dans le but de rencontrer enfin une once de challenge et de compétition. Je vais vous le dire franchement Julian, j'en ai ma claque de toutes ses sucrées qui ne peuvent pas dire bonjour sans se pincer les lèvres et se tortiller du reste. Ce genre de fille m'exècre plus que tout, elles n'ont strictement rien à faire dans un ring. Entre nous soit dit vous ne trouvez pas que sa ferait moins tâche dans le paysage de les voir en couverture de Maxim ou dans un film avec Rocco Siffredi plutôt que sur un ring de catch ? Ce que je veux, se sont des femmes, des vraies ! Des divas qui n'ont pas peur de prendre des coups et surtout qui savent en donner. J'espère que l'AWC sera me donner satisfaction. En résumé et pour paraphrasé un lutteur bien connus, je dirais : "Feed me more, Feed me More ...". Hahahaha !"

Julian Morris : "Eh bien le ton est donné ! On vous reproche souvent votre passivité, votre activité parfois excessive de manageuse ou bien encore votre réputation de croqueuse d'hommes et de femme fatale. Qu'avez vous à répondre à tout ses détracteurs qui se régalent en lisant les choux gras de la presse à scandales au sujet de l'affaire judiciaire qui vous oppose à Kurt Angle ?"


  • A l'entente de ce nom, le visage de Rhaka Khan changea du tout au tout. Si ses yeux auraient pu jeter des éclairs, ils auraient sans nul doute foudroyés sur place le journaliste. Ses sourcils dès lors se froncèrent, sa mâchoire se serra et sa respiration s’accéléra. Elle fuma une dernière bouffée de sa cigarette avant de l'écraser dans un cendrier posé sur le guéridon à sa gauche à côté du verre de Cocktail. Elle en but d’ailler une grande gorgé afin de se calmer puis répondit enfin :



Rhaka Khan : "Hum, je m'y attendais à celle là tiens ! Ce que vous pouvez être prévisible vous autre les journalistes ... ! Autant que je saches, nous somme au Etat Unis pas vrai ? Le pays par excellence de la liberté et de la libre entreprise. Nous sommes d'accord sur ce point n'est ce pas ? Aux dernières nouvelles et à moins que j'ai loupée un épisode c'est toujours le cas. Alors écoutez moi bien Julian ainsi que vous derrière votre écran, le fait que je sois un personnage de notoriété public ne m'élève en rien ce droit fondamentale dont vous autre citoyens Lambda jouissaient. Est-ce que j'ai étais assez claire ? Non bien sur que non ... Je vais donc vous la refaire en utilisant un phrasé qui sera nettement plus parlant pour vous. Ce que je fais de mon c*l à l’extérieur du ring ne regarde que moi et moi seule ! C'est bien compris ! Oui j'aime les hommes, oui j'ai un tableau de chasses à en faire pâlir Dom Juan lui même ! Et alors !? Cessez de jouer vos saintes nitouches car je suis prête à parier que vous ne valez pas mieux et que vous vous adonnez à cent fois pire ! En ce qui concerne ma forte activité en tant que manageuse, là encore je dirais qu'il n’incombe qu'a moi et moi seule de choisir ce qu'il me semble bon pour ma carrière. Que sa vous plaise ou non, c'est le cadet de mes soucis ! Je suis sois sur le ring entrain de me donner corps et âme dans un combat, soit à l'extérieur pour encourager un lutteur et le faire gagner en usant parfois de moyens illégaux. Et ça, ce n'est certainement pas vous qui allez le changer ! Quant au tissu de mensonge qui a était dit au sujet de mes déboires judiciaire avec Kurt Angle, je m'abstiendrais de tous commentaire afin que vous puissiez utilisé les deux sous de cervelle que vous avez pour vous forger une opinion ... . Bien, sur ceux je vais prendre congé de vous mon cher Julian, je dois encore m'occuper d'un tas de paperasse avec l'administration de la fédération afin d'officialiser la signature de mon contrat. Quoiqu'il en soit, ce fut un plaisir !"



Julian Morris : "Mais je ..."



  • Le journaliste a à peine le temps de finir sa phrase que Rhaka Khan se munit du bâtonnet sur lequel est piqué la petite olive et s'avance vers lui. Elle plaque l'index de sa main gauche contre ses lèvres, puis bascule la tête en arrière et croque à pleine dent l'olive d'une façon très sensuelle. Après cela, elle jette le bâtonnet, agrippe Julian par la cravate, le tire vers elle puis lui murmure à voix basse au creux de l'oreille. 



Rhaka Khan : "Fin de l'interview ... !"



  • Rhaka poussa alors violemment le journaliste qui retomba de tout son poids sur le fauteuil. Elle esquissa alors un petit sourire en coin puis quitta la pièce tout en laissant Julian à la fois terrifié et étonnamment séduit.  

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